
A l’origine de Youth Forever, un double constat :

La jeunesse a besoin
des entreprises
La pandémie de Covid 19 abîme, dans son potentiel d’impact, une génération sur le point de prendre son envol et d’agir sur le monde. Il s’agit là d’inciter tous les acteurs à « réparer » ou compenser durablement les conséquences de la pandémie sur cette jeunesse.

Les entreprises auront
besoin des jeunes
À plus long terme et dans un contexte de transitions majeures qui percutent les organisations, l’Entreprise aura besoin d’une jeunesse en pleine possession de ses moyens pour opérer les grandes transformations. Demain, sans cette jeunesse, l’entreprise ne sera rien.
Parce que la jeunesse d’aujourd’hui et de demain a d’incroyables défis qui l’attendent,


Parce que pour y répondre elle doit être en pleine possession de ses capacités,
Parce qu’elle croit en l’entreprise pour l’y préparer



Youth Forever
a vocation à fédérer et faire monter en puissance
les engagements des organisations à l’égard de la jeunesse



Créer des opportunités professionnelles

S’investir dans le mentorat

Financer les acteurs spécialisés

Former les managers à développer cette relève

Partager du savoir

Leur donner du pouvoir

Les armer pour relever le défi des transitions
Nous sommes fiers
de vous présenter ceux qui
sont déjà à nos côtés
Notre
observatoire


Youth Forever éclaire les enjeux majeurs des nouvelles générations et du pacte intergénérationnel de demain grâce aux enseignements de son centre de recherche et de prospective.
- Jeunes & Pouvoir au travail
- Fresque Parcours Jeunes
- Jeunes cons 💟 vieux fous
- Rencontre avec Emmanuelle Duez
- Rencontre avec Eva Azoulay
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Ils parlent de nous

Rejoignez le
mouvement !

La gouvernance
du projet
L’association Youth Forever est doté d’un conseil d’administration constitué de :

Les entreprises
qui font partie
de notre comité stratégique


À l’origine de
Youth Forever,
The Boson Project

En janvier 2012, The Boson Project naissait autour d’un pari : derrière les aspirations déroutantes des plus jeunes générations, les millennials, se tramait une véritable révolution managériale, s’esquissait une nouvelle manière de concevoir le travail.
De l’OCDE au « Davos des jeunes », de Zurich à Johannesburg, entre Kofi Annan et Desmond Tutu, nous avons plaidé, milité, défendu, expliqué, bataillé pour proposer un autre regard sur cette jeunesse au travail. Un regard nuancé, un regard exigeant mais un regard bienveillant, un regard d’espoir, qui pourrait voir au-delà de ce qui irrite, de ce qui heurte. Après dix ans et alors que cette folle épopée entrepreneuriale nous a menés loin dans les contrées du management, cette science du changement, une étude européenne sur les moins de 25 ans nous a ramenés à nos premières amours. Pas par coquetterie mais par urgence. Empêchée dans sa courbe d’apprentissage et son potentiel d’impact, la relève doit pourtant se préparer à embrasser les grandes transitions à venir. Ne laissons pas ces perspectives s’assombrir, mobilisons-nous.